Le pays du soleil rouge | Elizabeth Haran

« C’est vrai que des fois, on se dit que nos vies sont planifiées à l’avance. Mais, d’autres fois, c’est nous qui commettons des erreurs, et après, il faut bien s’en accommoder. »

Editeur: Archipoche Parution: février 2018 Nombre de pages: 552 pages

 

Quatrième de couverture:

Angleterre, 1941. Accusée d’avoir agressé le père d’un de ses élèves, Lara Penrose, une jeune enseignante, choisit pour éviter la prison de partir enseigner en Australie. Quand elle arrive à Shady Camp, bourgade reculée au nord de l’île continent, c’est le choc. D’abord, il n’y a pas d’école. Et puis la région est infestée de crocodiles. Mais Rick va régler le problème. Dès leur première rencontre, Lara est séduite par cet homme, éconduisant le Dr Jerry qui lui faisait jusque-là une cour assidue…

Des paysages exotiques et envoûtants, une héroïne qui doit lutter contre l’adversité pour trouver le bonheur et sa place dans la société… Sont ici réunis tous les ingrédients qui ont contribué au succès des sagas de Tamara McKinley, Sarah Lark ou Colleen McCullough.

 

Mon avis:

Le pays du soleil rouge est l’histoire de Lara Penrose, jeune institutrice forcée de partir en Australie suite à un différent avec le parent de l’un de ses élèves. Bien que dépaysée, la femme s’adapte peu à peu au climat et à la faune et à la flore du Nord australien. Ce roman oscille entre voyage, aventure, rebondissements et amour.

Autant le dire tout de suite, je n’ai pas réussi à trouver un quelconque point négatif à ce livre qui m’a énormément envoûté. Autant les personnages que l’histoire m’ont emportés. Grâce à une description riche mais simple de l’environnement, on est très vite transporté au cœur de la campagne australienne mais également en plein conflit mondial !

Au départ, je pensais que j’allais finir par m’ennuyer si le roman ne contait que l’histoire d’une institutrice un peu perdue dans son nouveau milieu mais, à mon plus grand bonheur, Elizabeth Haran sait garder l’attention de son lecteur en inventant pleins de rebondissements, tous plus étonnants les uns que les autres, qui nous laissent avec une tension extrême et de fortes émotions ce qui nous pousse à vouloir très vite continuer notre lecture.

Ce roman se dévore en à peine quelques jours et, lorsque l’on referme enfin le roman, on en ressort avec le souffle coupé et, surtout, avec l’envie de découvrir cette auteure grâce à ses autres romans.

Je donne la note de 10/10 à ce roman qui a été un véritable coup de coeur!

Merci aux Editions de l’Archipel pour leur confiance et pour m’avoir permis de lire ce roman.

Lu dans le cadre du Challenge Lecture 2018 dans la catégorie 37 – Lire un livre dont une partie de l’histoire se passe en prison.